
Tournage de deux "L'Instant conso" en Gironde

Le vendredi 27 janvier 2023, a eu lieu en Gironde le tournage de deux "L'Instant conso" en partenariat avec la Banque de France et sous la supervision de l'Union.
Le matin, c'est l'UFAL Mios qui a participé au tournage de L'Instant conso sur " Incendie suite à un feu de forêt : comment être indemnisé ?" avec Nicole Bordas. Le tournage a été fait sur les terres ravagées par les incendies l'été dernier à Joué Belin-Beliet.
L'après-midi ce fut le tour de l'AFOC 33 d'être sous les projecteurs sur le thème "Vous venez de trouver une location mais vous n'avez pas de garant ; des solutions existent !" avec Marie Paule Moze. Le tournage a eu lieu cette fois dans les locaux de la Banque de France à Bordeaux.


La Banque de France était représentée par Monsieur Patrick Saulnier, directeur départemental de la Vienne Banque de France et référent EDUCFI pour la Nouvelle Aquitaine et Monsieur Aurélien Eber, collaborateur Banque de France Bordeaux.
Alain Coudin, le président de l'Union, et Marion Flamé, la juriste de l'antenne de Bordeaux, ont été figurants.

Les tournages se sont passés dans la bonne humeur.
Merci à la Banque de France et à l'Union pour l'organisation de cette formidable journée de tournage.
Les émissions seront bientôt diffusées sur France 3 et publiées sur nos diverses voies de communication.
En attendant, revivez en image le tournage
Présence de l'Union aux voeux de la mairie de Poitiers
Hier soir, 11 janvier 2023, l'Union était présente aux voeux de la Maire de Poitiers Madame Léonore MONCOND'HUY. L'Union était représentée par son président Alain COUDIN et sa secrétaire Joëlle RONNÉ.
Ils ont pu converser avec elle, lui ont présenté l'Union et lui ont fait part du plaisir de l'Union et de ses associations d'être présentes à Poitiers.
Dans son discours, elle a félicité et encouragé le travail des associations. Ils lui ont donc souligné que l'Union est installée à Poitiers depuis 39 ans et y œuvre aux côtés des associations de consommateurs dans la défense quotidienne du consommateur au travers de diverses actions.


Par ailleurs, après lui avoir dit que l'Union avait été reçue par son élu de référence, en charge de la vie associative, ils lui ont demandé un rendez-vous, cette fois avec elle-même Madame la Maire, ce qu'elle a accepté.

Cette rencontre et ces échanges avec Madame la Maire de Poitiers permettent à l'Union de renforcer sa présence et sa visibilité sur les territoires. Cela est très important pour le rayonnement de nos activités ainsi que de celles de nos associations adhérentes. Nous espérons pouvoir multiplier ce type de rencontres et surtout les faire fructifier.
Journée-débats "Consommation et climat, une cause à effets, un an après ...
Le vendredi 23 septembre 2021 l'Union des CTRC/ALPC en Nouvelle Aquitaine tenait une journée-débats sur "Consommation et Climat, une cause à effets".
L'objectif de cette journée était de débattre de l’impact de la consommation, où sont impliquées nos associations adhérentes, sur le climat notamment des changements climatiques produits ou possiblement à venir. Nous avons essayé de mettre en exergue les idées qui peuvent participer à l’information et à la sensibilisation sur de nouvelles manières de consommer et de produire durablement et écologiquement dans divers domaines – le logement, l’énergie, les transports, et l’alimentation (eau et produits alimentaires). Pour y arriver nous avons développé tout au long de la journée divers sous-thèmes qui ont été portés par des spécialistes.



Nous avons, par exemple pu discuter des effets des changements climatiques sur les écosystèmes marins (avec Philippe GARCIA, Responsable de l’association Défense des milieux aquatiques) du logement et du climat (avec Martine JARDINÉ, Vice-Présidente du Conseil départemental Gironde chargée du Logement, de l’Habitat, du Développement Social, Présidente de Gironde-Habitat), de la transition énergétique et du climat (avec Alexis JOIRE, Directeur des Relations Externes d’Engie Grand Public), de l'eau potable et du climat (avec Loïc PRUD’HOMME, Député de la Gironde 3e circonscription, Membre de la Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire), ou encore des conflits internationaux et le climat (avec Alain DAVID, Député de la Gironde 4e circonscription, Membre de la Commission des affaires étrangères) et bien d'autres sous-thèmes avec des intervenants très impliqués et très compétents. Vous pouvez retrouver l'ensemble de ces interventions sur notre page Youtube : Union des CTRC-ALPC en Nouvelle Aquitaine.

Un an plus tard, nous poursuivons nos actions en faveur de la sensibilisation quant à une consommation responsable. Nous nous sommes retrouvés, le vendredi 23 septembre 2022, au sein d'un groupe de travail baptisé 'Eau' afin de développer des actions dans ce domaine. Nous ne manquerons pas de vous informer de l'évolution de ce projet. Restez à l'écoute!
Tournage de l'Instant conso « la fin du ticket de caisse » avec l’AFOC 40

Mardi 06 septembre, a eu lieu à Dax le tournage de l’Instant conso « la fin du ticket de caisse » avec les bénévoles de l’AFOC 40. Manu BARANDAS et Chantal GOURGUES, ont présenté les risques que représente la fin des tickets de caisse pour les droits des consommateurs notamment en matière de fraude et de protection des données personnelles. Marie Paule GODARD a accepté de jouer le rôle de la cliente qui demande son ticket de caisse. Et cela en présence de la présidente de l'association Raymonde MASSON.
Une partie du tournage a été faite dans le restaurant El Piquero près de nos locaux à Dax et une autre partie sur les berges du lac de Christus à Saint-Paul-Lès-Dax.
Nous remercions le propriétaire du restaurant qui a mis son établissement à notre disposition pour le tournage et qui a accepté d’être figurant.
La vidéo sera diffusée dans quelques semaines. Vous pourrez la retrouver ensuite sur tous nos moyens de communication (site internet et réseaux sociaux).




Tournage de l'Instant conso «Régler nos achats à l’aide des nouveaux moyens de paiement » avec l’AFOC 86

Vendredi 29 juillet a eu lieu à Buxerolles, à côté de Poitiers, le tournage de l’Instant Conso « Régler nos achats à l’aide des nouveaux moyens de paiement », dans les locaux de l’AFOC 86 et sur le petit espace vert attenant.
En effet, avec l’évolution de la technologie, les moyens de paiement se sont diversifiés.
Les bénévoles de l’association ont illustré cet Instant Conso.
Gilbert Baudet l’a présenté et a expliqué le fonctionnement de ces nouvelles façons de payer.
Jean-Yves Granet et Jacques Marcenne ont accepté d’être les figurants.
Merci à tous les trois !
La vidéo sera diffusée dès la rentrée en septembre. Vous pourrez la retrouver ensuite sur tous nos moyens de communication de communication (réseaux sociaux et site internet).



Tournage de l'Instant conso "un cartable éco-responsable pour la rentrée scolaire" avec l'UD CSF 87

Et si la rentrée prochaine, nous équipions nos enfants de fournitures scolaires sans risque pour leur santé, ni pour l’environnement ? Telle est la question à laquelle l'UD CSF 87 a voulu répondre au cours du prochain Instant conso.
Le tournage de cet Instant conso intitulé "un cartable éco-responsable pour la rentrée scolaire" a eu lieu ce jeudi 28 juillet 2022 à Limoges. Magali Bennet de l'UD CSF 87 est intervenue au cours de la vidéo pour donner des conseils quant au choix des équipements scolaires éco-responsables.
Un tournage au frais, sur un espace vert du quartier du Sablard (Limoges).
Merci à Judith et son fils Sayem d'avoir accepté d'être figurants dans le local de l'UD CSF sur le quartier. Judith est une maman impliquée dans le choix des fournitures scolaires éco-responsables.
Sayem a été très sérieux pour faire son cartable lors du tournage.
La vidéo sera diffusée dès la rentrée en septembre. Vous pourrez la retrouver ensuite sur tous nos moyens de communication de communication (réseaux sociaux et site internet).



Le colloque « Micropolluants dans l’eau, un enjeu pour le vivant »
Organisé le lundi 11 juillet 2022 par l’agence de l’eau Adour-Garonne en partenariat avec l’OFB, Bordeaux Métropole, la région Nouvelle-Aquitaine, la Filière Française de l’Eau, il va permettre de partager les dernières connaissances sur les micropolluants (pesticides, résidus de médicaments, de biocides, perturbateurs endocriniens, microplastiques, nanoparticules, métaux et autres pollutions chimiques chroniques…) et l’interaction des activités à terre et la qualité des eaux.
Un rendez-vous pour les associations, les professionnels et acteurs de l’eau, les décideurs publics et économiques.

INDECOSA CGT 40 (de l’Union des CTRC/ALPC en NA) avec Jean Pierre DUMARTIN a participé à cette initiative et nous en fait un compte rendu.
9h00 - Ouverture
10h15 - Le bilan scientifique
10h25 - Table-ronde 1 : La détection
11h30 - Table-ronde 2 : Effets des micropolluants sur l'environnement et sa biodiversité
12h30 - Conclusion de la matinée
12h45 - Pause déjeuner
13h45 - Table-ronde 3 : Les acteurs s'engagent
15h00 - Table-ronde 4 : Les acteurs ont des solutions
16h30 - Conclusion de l'après-midi
16h45 - Table-ronde 5 : Demain, quelles perspectives vis-à-vis des micropolluants ?
AGENCE DE L’EAU ADOUR-GARONNE


Les micropolluants dans l’eau, d'où viennent-ils ? Et comment agir ?
Nos modes de vie et de consommation continuent de produire de nouveaux polluants organiques ou minéraux. Leur présence dans les milieux aquatiques, même à des concentrations très faibles, peut être toxique pour les organismes vivants.
D'où viennent les micropolluants ?
Les micropolluants sont des substances que l’on retrouve dans l’environnement dans des concentrations très faibles : l’équivalent d’un morceau de sucre dans une piscine olympique ! Pourtant, les micropolluants peuvent avoir un impact notable sur les usages et les écosystèmes.




D’origine industrielle, domestique, agricole ou naturelle, les micropolluants sont généralement d'origine anthropique. De nombreux produits que nous utilisons régulièrement en contiennent : phytosanitaires, biocides, produits cosmétiques, médicaments, peintures, produits d’entretien… Leur production, mais surtout leurs usages favorisent la présence des polluants organiques ou minéraux dans l’air, l’eau et le sol : on parle alors de contamination.
Les origines de la contamination de l'eau par les micropolluants sont diverses :
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les eaux usées d’origine domestique contiennent notamment des résidus médicamenteux (ibuprofène, paracétamol...), des pH talâtes (molécules issues de l’utilisation de plastiques), des parabènes (issus des produits cosmétiques), des filtres UV présents dans les crèmes solaires et des pesticides, comme par exemple ceux utilisés pour traiter les animaux domestiques (produits antiparasitaires)
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les eaux usées d’origine industrielle recèlent divers types de polluants en lien avec les activités concernées par les produits utilisés dans la fabrication des plastiques, des détergents, les solvants (peinture), les produits pétroliers et les métaux
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les effluents hospitaliers contribuent à la contamination des eaux usées par des molécules liées à certains médicaments (notamment certains antibiotiques, anticancéreux ou agents de contraste)
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les contaminations peuvent aussi être d’origine agricole. La pollution du sol, notamment par des pesticides dans le cadre d’usages agricoles contribue à la pollution des eaux (ruissellement, infiltration). Cet effet concerne également les produits utilisés pour le jardinage qui, par ruissellement, peuvent contaminer les cours d'eau lorsqu'il pleut.
Ces pollutions convergent vers les fleuves, mers et océans. Les micropolluants, présents dans les milieux aquatiques, sont susceptibles d’avoir une action toxique sur les organismes vivants, même à des concentrations très faibles !
A l’heure actuelle, plus de 100 000 molécules sont identifiées comme micropolluants par les administrations et centres de recherches, et ce nombre ne cesse d’augmenter au fil des années. L’amélioration des performances d’analyses chimiques et la connaissance toxique et écotoxique des molécules actuelles et nouvelles nous permettent d’avoir une liste des micropolluants plus exhaustive de jour en jour.
Comment peut-on lutter contre les micropolluants ?
Plusieurs leviers d’actions existent : agir en réduisant les pollutions à la source, prévenir en renforçant les outils de surveillance et la sensibilisation. Ces actions doivent être combinées.
Une surveillance accrue
Les micropolluants font bien sûr l’objet d’une surveillance réglementaire. Les experts effectuent des prélèvements, des analyses et la recherche est constante concernant les outils de surveillance futurs et la gestion des rejets.
Des actions sont menées avec les industriels, notamment dans le cadre de « l’auto-surveillance encadrée »
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l’industriel est responsable du contrôle de la qualité de ses rejets, suivant des modalités de surveillance définies par des décisions administratives.
L’accompagnement des industriels et les soutiens financiers visent notamment à :
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renforcer le suivi de la présence de micropolluants dans les rejets
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mettre en place des stations d’épuration internes, et/ou des circuits fermés de réutilisation des eaux usées après traitement
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optimiser les processus de production.
Améliorer la connaissance sur les micropolluants et les contaminations
Certains micropolluants restent réfractaires aux traitements (comme certains médicaments et pesticides). Il apparaît indispensable de limiter la présence de ces micropolluants.
Chacun peut agir à son niveau, notamment par les actions suivantes :
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promouvoir le changement des pratiques des ménages (utilisation de produits d’entretien de la maison et d’hygiène corporelle plus respectueux de l’environnement)
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soutenir la gestion « verte » des espaces et des services publics urbains par les collectivités (limiter ou supprimer les produits phytosanitairespour l’entretien des terrains de sport, etc.).
Financer des projets de recherche
Acteur de la mise en œuvre des politiques publiques dans le Grand Sud-Ouest, l’agence de l’eau Adour-Garonne est au cœur de l’action sur le territoire.
L’amélioration des connaissances sur les micropolluants et la compréhension des mécanismes de contamination de l’eau et des milieux aquatiques est indispensable pour poser des diagnostics et développer des solutions innovantes de lutte contre ces pollutions.
Les agences de l’eau accompagnent les acteurs économiques (industriels, agriculteurs…) et les acteurs publics (collectivités notamment) vers la réduction des pollutions des milieux aquatiques. Elles sensibilisent ces acteurs, financent et accompagnent les mesures, les études et les innovations en lien avec la réduction des substances polluantes et l’amélioration du traitement des rejets.
Pour atteindre les objectifs de bon état des eaux et préserver ou reconquérir les usages, il convient : […] de sensibiliser et informer l'ensemble des acteurs sur l'impact des micropolluants pour lutter efficacement et permettre une prise de conscience collective accompagnée de changements de pratique.
Un cadre législatif et réglementaire en évolution
Le texte de référence sur la qualité de l’eau est, au niveau européen, la Directive-cadre sur l’eau (DCE 2000/60), qui a été transposée en droit national et précisée par plusieurs textes législatifs et réglementaires, portant notamment sur :
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l'autorisation de mise sur le marché de substances (produits phytosanitaires, etc.)
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la réglementation des rejets (eaux résiduaires urbaines, émissions industrielles, etc.)
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la réglementation des usages et des milieux (eau potable, eaux de baignade…)
En mai 2021, la Commission Européenne a adopté le plan d'action intitulé «Vers une pollution zéro dans l'air, l'eau et les sols », qui constitue un élément-clé du pacte vert pour l'Europe. Ce plan d'action définit une vision intégrée pour 2050, avec un objectif de pollution réduite à des niveaux qui ne seront plus nocifs pour la santé humaine et les écosystèmes naturels, ainsi que les étapes à franchir pour y parvenir.
Mon intervention lors d’un atelier.

Bonjour,
Je suis de Mt de Marsan et je siège dans la CCSPL du SYDEC.
Au moment où je vous parle, la mairie de Mt de Marsan va installer un gazon synthétique ! En tant que représentant d’une association de consommateurs, je vous tends la main pour un partenariat éventuel avec l’Union des Centres Techniques Régionaux de la Consommation/ALPC en Nouvelle Aquitaine, qui regroupe 50 associations de consommateurs. L’Union a comme missions l’INFORMATION et la COMMUNICATION. Dans ce sens, nous pouvons participer à toutes initiatives sur les micropolluants dans l’eau.
A la fin du colloque, je me suis approché des Directions, dont Monsieur Joël MARTY de l’agence Adour Garonne pour finaliser mon intervention.
Le 18 juillet, il y aura un appel à projet…
Jean Pierre DUMARTIN
Journée-débats du 23 septembre 2021
L’idée de cette journée a découlé du constat suivant : la manière actuelle de produire et consommer conduit inéluctablement à des changements climatiques qui risquent, si ce n’est déjà le cas, de devenir irréversibles. Il est donc nécessaire et urgent de transformer nos comportements de consommation afin de réduire notre impact sur la planète pour sa survie et pour la nôtre, les deux étant inexorablement liées. Mais pour y parvenir, il est nécessaire d’alerter, de sensibiliser tous les acteurs de la consommation et de la production à leur responsabilité et leur donner les moyens d’agir d’une meilleure façon.
C’est ainsi que cette journée-débats a eu pour principal objectif de faire le lien entre la consommation et le climat et de mettre en exergue ce qui est fait et ce qui reste à faire pour améliorer ce qui doit l’être dans une vision de protection de l’environnement et de l’humain.

À l’occasion de cette journée, nous avons pu réunir autour des tables rondes des acteurs clé de la consommation notamment des élus tels que M. Alain DAVID et M. Loïc PRUD’HOMME, députés de la Gironde, des institutionnels tels que la Région Nouvelle Aquitaine, le Département de la Gironde et Bordeaux Métropole, des organisations de producteurs telle que la Coopération agricole, des entreprises telle que ENGIE, des associations qui sensibilisent le public aux changements climatiques et lui proposent des alternatives de comportements telle que France Nature Environnement et Défense des milieux aquatiques.
Les intervenants ont débattu autour de deux tables rondes, et interagit avec le public.




Cela a été également l'occasion de la signature du partenariat entre l'Union et la Coopération agricole Nouvelle Aquitaine.


Rencontre au Ministère de la cohésion des territoires
Le président de l’Union des CTRC/ALPC en Nouvelle Aquitaine Alain COUDIN, la présidente du l’Union des CTRC Franche-Comté Bourgogne, Colette SAUTIERE, et le président du CTRC Île de France, Hervé GAMBERT, tous les trois membres du comité d’évaluation de l’INC, ont tenu une réunion le 16 septembre 2020 au Ministère de la cohésion des territoires. Ils ont été reçus par Madame Lucile JOSSE, assistante de Madame la ministre Jacqueline GOURAULT, accompagnée de sa stagiaire Margot DOUTEAU. Plusieurs sujets étaient à l’ordre du jour. Tout d’abord, ils lui ont présenté le dossier sur l’illectronisme qui a été fait par les CTRC sur l’ensemble du territoire national au cours de l’année 2019. Elle a apprécié le travail d’enquête qui a été fait et leur a signifié qu’elle s’en servira dans ses travaux. Ensuite, ils ont discuté de la participation des Unions, CTRC et SRA aux réunions de France services. Colette Sautière, de l’Union Franche-Comté, a, elle, été invitée à la réunion de France Services dans sa région.
Ils ont, ainsi, indiqué à Madame JOSSE que toutes les Unions et tous CTRC sont disposés à assister à toutes les réunions de France Services dans toutes les régions. C’est un espace qui pour eux est important et nécessaire, notamment dans le cadre de leurs actions auprès des citoyens consommateurs. Cette participation aux réunions leur permettra, par exemple, de discuter des difficultés rencontrées dans ces services. En outre, ils ont abordé la question de la baisse des subventions accordées aux Unions, CTRC et SRA. Ils lui ont présenté la baisse continue des subventions depuis 2010 et la grosse baisse de 35% que subissent ces structures cette année ainsi que les conséquences qui en découlent et qui mettent en péril leur survie. Elle leur a dit qu’elle ne pouvait pas leur donner une réponse positive, ni même se prononcer sur cette question immédiatement. Ils lui ont répondu qu’ils attendaient surtout du ministère un soutien auprès du gouvernement. Enfin, ils lui ont fait savoir qu’ils sont disposés à travailler avec le ministère sur les territoires de par leur qualité de tête de réseau, et aussi dans la mesure où ils sont des acteurs incontournables sur les territoires par leurs actions auprès des citoyens consommateurs. Ce fut donc une rencontre et des échanges très riches et prometteurs.

